Ne nous abandonnez pas comme on vous a laissé bien seul trop longtemps,
Mercredi je serai-là, et le suivant… et le suivant !
Comme cet air qui me vient …
une parodie en clin d’oeil à un journal qui doit retrouver les kiosques.
Ne nous abandonnez pas comme on vous a laissé bien seul trop longtemps,
Comme cet air qui me vient …
une parodie en clin d’oeil à un journal qui doit retrouver les kiosques.
Très bonne idée, Antonio, de laisser l’exemplaire de Charlie Hebdo dans le métro. Je propage l’idée.
Sabine
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