Le Café de la Page blanche présente
Le dernier ouvrage de sa collection…

« Qu’est-ce que tu écris ? Un roman ? — Oh ! rien. Je m’essaie juste à tuer le temps. »
Ce n’est pas un roman, non.
Mais un recueil de textes, d’histoires, d’inspirations qui visent à tuer le Temps…
Une bonne fois pour toutes !
Car « le Temps doit rendre des comptes ! »
C’est le propos de la PREMIÈRE PARTIE qui l’accuse, le convoque, le condamne.
« Il est désormais prouvé que le Temps a fait usage de faux en blanchissant dans notre calendrier des heures entières. […] — Mais pourquoi il a fait ça ? — Parce que le Temps, c’est de l’argent. Et plus vite il passe, plus il en empoche, pardi ! »
Le Temps se joue de nous, suspendu à cette petite boule qui tourne sur un plateau elliptique du grand Casino de l’Univers.
« Rien ne se perd, rien ne se crée… Faites vos jeux !
Tout se transforme. »
C’est le thème de la DEUXIÈME PARTIE qui nous interroge autant qu’elle s’amuse des sciences de l’Univers, comme dans une cour de récré.
« BIG BANG BOUM ! Un ion se décharge sur un autre Il l’avait bien cherché ! C’est électrique, ça fait des étincelles Mais ce n’est rien que pour s’amuser. »
« Histoires hors du Temps »
La TROISIÈME PARTIE se libère de son emprise, explorant ses coulisses, de l’avant à l’après, jusqu’à un improbable recommencement.
« Je vais vous raconter une histoire qui n’a jamais pu trouver sa place dans le temps. Et pour cause ! Je la tiens des couilles de mon père ou du ventre de ma mère, je ne sais plus. À moins que cette histoire ne soit qu’un bruit de couloir, une « fuck-news », comme on pourrait dire de nos jours. C’était juste un coup pour rien, avant le vrai commencement. »
Le ton est donné, le Temps révolu… Place à un semblant d’éternité !
Avec UNE PETITE DERNIÈRE… histoire, « tombée du ciel », qui nous embarque dans une aventure Higelinesque, un dernier délire, en hommage à ce père spirituel qui m’accompagne toujours.
« S’il vous plaît… dessine-moi une aurore boréale ! Il était là, en bas, les yeux écarquillés, dans la nuit glaciale, tenant la main de son grand-père. Le petit garçon me priait, moi, de lui colorier le ciel avec mon avion de couleurs prêt à fendre la stratosphère. Attention, gamin, pour le vol du bourdon, il va y avoir du frisson dans l’échine. Dans mon aéroplane blindé, à fond les gaz, j’attaque un looping. »
Je vous invite à bord de cet « aéroplane blindé »
d’Absurde, d’Humour et de Poésie
le temps d’un voyage aux confins de mon imaginaire.
Dépaysement littéraire garanti !
Sortie prévue en avril 2022