Ne nous abandonnez pas comme on vous a laissé bien seul trop longtemps,
Mercredi je serai-là, et le suivant… et le suivant !
Comme cet air qui me vient …
une parodie en clin d’oeil à un journal qui doit retrouver les kiosques.
Ne nous abandonnez pas comme on vous a laissé bien seul trop longtemps,
Comme cet air qui me vient …
une parodie en clin d’oeil à un journal qui doit retrouver les kiosques.
Le message de la RATP à l’intérieur des vieux RER A, toujours en circulation, (vous savez les rouge et bleu, crades et bondés), est aussi clair qu’il se veut poétique.
Gardez les rames propres en usant des poubelles mises à votre disposition.
L’idée est originale, la poésie a un côté scolaire et le résultat fait plus sourire qu’il n’est vraiment efficace.
C’est déjà ça !
Oh ! Je vous entends déjà vous moquer, détourner le message tant la RATP et son RER fétiche suscitent bien des réactions quant aux nombreux dysfonctionnements dont ils font l’objet chaque jour.
Alors, le Gérard qui est en vous pourrait peut-être lui redonner le sourire…
Il était une fois… chez le psychanalyste, au conseil des ministres, inventez la suite…
Un mot s’est épris de son poète et il clame cet amour sous la forme d’une parodie de la célèbre chanson d’Edith Piaf.
Un bateau épris de sa rivière, un nourrisson de son père, un carton de son déménageur, un ballon de son joueur…
« Quand il me prend dans ses/son bras… je vois la vie en… »
Qui ne s’y est pas essayé pour un anniversaire, un pot de départ, jubilant du message détourné de la chanson originale ?
Même Patrick Sébastien y est allé de son célèbre « Je l’aime à courir » parodiant Cabrel et son amour jusqu’à la mort.
Oui mais respecter le rythme et la sonorité de la chanson originale pour un effet garanti n’est pas toujours un exercice facile. Ecoutez !
Entendez comme la sonorité de la seconde phrase est moins fluide, on n’a plus les accents sur le son ‘s’ qui donne un souffle, une respiration au texte, non ?
Mais on peut toujours essayer !
Par exemple, si on voulait parler de l’euthanasie (désolé, ce n’est pas gai !), on pourrait coller encore plus à l’original :
Là, je ne change pratiquement rien, je conserve la forme poétique originale.
Parodiez le début (comme moi) ou un couplet ou toute la chanson si vous êtes carrément inspiré… sans vous prendre la tête sur la forme ! … là, on joue !
Jacques en quête de douceurs pour sa belle se rend à nouveau chez son confiseur favori.
Quand Jacques arrive chez sa douce, Germaine, il lui dit avec un air de grande satisfaction.
Remplissez les trous avec les mots qui vous viennent en essayant de respecter au possible le rythme de la chanson et les rimes qui peuvent être librement changées bien sûr.
Vous pouvez même poursuivre d’autres couplets si vous vous sentez inspirés.