Hein ? … Quoi ? … Qu’est-ce qu’elle a dit ?
L’autre jour je bullais dans mon jardin, à Versailles. Quand je dis mon jardin, ce n’est pas tout à fait le mien, disons que je le partage avec d’autres. Ce serait même plus juste de dire que c’est le notre, d’autant que c’est le sien… à Le Nôtre, de jardin ! … Vous me suivez ?
Je bullais l’autre jour dans son propre jardin, taillé comme une belle barbe pour un grand événement. Et pour cause, c’était le sien à Le Nôtre, d’évenement… son anniversaire, vous m’en direz tant… 400 ans le Dédé !
A la votre, monsieur Le Nôtre !
semblaient murmurer de drôles de sculptures d’arbres, le vert à la main… celle d’un certain Giuseppe Penone, chef de file de l’arte povera, je lis sans bien saisir. Peu m’importait…
Je bullais donc dans ce jardin, le notre, remontant une des allées qui longent le parterre de Latone, celle de droite précisément en direction du château. Je sais que cette précision sera appréciée par les amateurs de callipyges au temps compté ou encore aux pieds usés.
Quand je suis tombé nez à nez… ou plutôt des nues à nu avec le plus beau fessier du parc. Quelle splendeur ! pensais-je. C’est là qu’une voix divine qui provenait de plus haut (forcément) s’est faite entendre… Je relevais la tête. Hein, quoi ?
Je ne sais pas si vous avez remarqué comme moi, mais on ne comprend jamais ce que disent les statues tellement elles parlent dans leurs marbres.
Mais qu’est-ce qu’elle a bien pu dire ?
Je suis sûr que vous avez une petite idée !
Remplissez cette bulle avec ce qui vous vient à l’esprit.
Il faut s’arrêter pour écouter… Le Nôtre… un grand artiste.
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Miroir mon beau miroir, suis je toujours la plus belle ?
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la hauteur de la jupe est bonne là , qu’est-ce que vous en pensez?
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Merde, j’ai un cul de plus en plus gros. Allez, Hop, un drap et il n’y paraîtra plus…
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